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Fédération des Associations Familiales Catholiques du Val de Marne (et du 93)
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9 novembre 2013

QUEL AVENIR POUR LA POLITIQUE FAMILIALE ? Répondez au questionnaire des AFC

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C’est sous ce titre qu’a été lancée fin octobre une enquête en ligne pour mesurer l’impact des mesures prises ces dernières années en matière de politique familiale.

Diffusée dans un premier temps aux présidents d’AFC et de Fédération, avec invitation à la transmettre aux adhérents, l’enquête a cette semaine été lancée cette semaine avec la lettre électronique.

Elle sera également présentée dans le prochain numéro de La Vie des AFC et certains résultats vont permettre d’alimenter des actions de communication pour, sinon faire du « buzz », du moins permettre de recueillir des réponses supplémentaires.

A ce jour, un peu plus de 900 personnes ont répondu. C’est encourageant mais encore limité pour que les résultats acquièrent, si l’on peut dire, un poids difficilement contestable.  Merci donc d’y répondre si vous n’avez pas eu l’occasion de le faire.

Partant du constat que, au-delà de mesures prises en faveur des familles modestes  (augmentation de l’allocation de rentrée scolaire, de l’allocation de soutien familial, du complément familial…), la politique familiale de notre pays est l’objet de remises en cause régulières, l’enquête revient sur ces mesures. Elles ont mis les familles, et en particulier les familles nombreuses, à forte contribution. La récurrence de ces mesures et de ces efforts pose la question de leur utilité réelle à mettre en regard de leur impact concret sur les familles.

 

Premiers résultats

On ne sera pas surpris d’apprendre que la première décision qui met à mal le pouvoir d’achat des personnes ayant répondu est l’abaissement du plafond du quotient familial. Viennent ensuite les décisions concernant les retraites ou les allocations familiales.  L’unanimité est presque réalisée pour dire que ces mesures n’ont pas (ou pas du tout) contribué à redresser la situation économique de la France et à plus de justice sociale. Pour les répondants, la première réponse a été la réduction des dépenses. Elles ont aussi souvent puisé dans leur épargne et renoncé à des activités culturelles ou de loisirs. Enfin, très majoritairement, les personnes qui ont répondu estiment que l’effort aurait été légitime en contrepartie d’une réduction des dépenses publiques, l’amélioration de la compétitivité du travail en France arrivant en bonne place.

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